Ce ressenti est complexe à comprendre, parfois, dans certains cas, elle est bien naturelle. Une séparation, un licenciement, une tâche à accomplir qui paraît surdimensionnée. Dans ce cas-là, il faut repartir de la source et la repositionner dans le cadre où elle doit se situer.

Puis, il y a celle qui est anormale, disproportionnée et qui dépasse la normalité. Nous travaillerons ensemble pour retrouver votre confiance en vous. Beaucoup de solutions sont proposées. Il faut se reconnecter à nos sens pour mieux sentir, mieux se sentir.

Ses symptômes sont facilement identifiables sans clairement définir leurs causes. Un mot, une image, une perception et elle se manifeste. Je vous aide à reprendre le contrôle de vos émotions.

Nous l’identifions ensemble, démontons son mécanisme de déclenchement et l’aidons à s’évanouir comme un vieux souvenir.

Difficile à percevoir et souvent, l’extérieur la devine et la presse avant nous. Légère ou profonde, elle modifie notre perception de la vie et s’installe à notre insu comme une mauvaise amie. Une fatalité, sûrement pas. Son remède, le retour à la joie et à la renaissance d’un projet. Partageons l’énergie de la vie, moteur de toute action !

Ressentir un malaise, nourrir le souhait d’être ailleurs ou quelqu’un d’autre tant l’on se sent mal. Être triste trop souvent, avoir une vision grise de l’existence. Tout cela est plus fréquent qu’il n’y paraît et presque commun aujourd’hui. Cette perception peut se modifier, nous pouvons ensemble permettre au jour de gagner du terrain. Être ou ne pas être, soyons !

Savoir qu’il faut agir et ne pas y arriver, retomber d’un peu plus haut à chaque fois, vivre des échecs ou des défaites, s’angoisser avant même que le moment arrive, ce n’est pas une fatalité. Briser la spirale négative autoprogrammée est possible. Retrouver confiance en soi, retrouver votre vraie valeur est notre chemin. Nous renouons avec votre instinct !

Elles sont là, dévorantes, anxiogènes et on est certain qu’elles viennent se représenter sans même que l’on ait à les appeler. On a du mal à en parler ce qui double leurs effets. C’est un feu lent qui consume. Leur avantage ? Elles ont une source que la psychanalyse permet de trouver. Et là, Jung devient notre ami. Régulièrement reliées à l’image du père, nous en vérifions l’origine et travaillons à sa résolution.

Se construire ensemble ou séparément ? Évoluer ensemble ou séparément ? L’amour, doit-il durer toujours ? Un amour qui décline est-il voué à l’échec ? Peut-être ou pas. Se connaître et se reconnaître, découvrir pour être sûr que la décision finale sera la bonne. Cela se fait bien à deux, cela fait du bien, passer du doute à l’espoir tout simplement.

Difficile de comprendre un adolescent, difficile qu’il nous comprenne. A-t-on oublié l’ado que nous étions ? Est-il si loin que le nôtre nous paraisse si distant ? Sait-on lire ses angoisses, les reconnaissons-nous seulement ? Je crois profondément à ce bel âge qui a plus à dire que nous le pensons. Donnons-leur la parole et sachons écouter !

Cette impression de déjà-vu ou de déjà vécu. Une roue qui tourne, en nous représentant les mêmes schémas sans pouvoir s’en libérer. Cette ronde karmique nous renvoie à nous-mêmes et ne demande qu’à nous entraîner vers un autre chemin. Celui de la liberté retrouvée, retrouvé à nous-mêmes ! Casser pour reconstruire ! L’origine du mot « schéma » est « l’écoute », alors écoutons-nous !

Choisir, s’engager, ce n’est pas si facile. Le monde moderne nous impose de choisir : la modération, le scepticisme ne sont pas valorisés. Il est fréquent d’entendre en réponse à son interrogation « tu ne devrais pas ». Si les doutes, le stress sont là, ils nous transmettent un message. Décodons-le, comprenons-le, mettons-nous en route sur le chemin de vos certitudes.

Que cache ce surplus ? Quelle image me projette-t-il de moi ? Comment je me sens dans mon corps ? Reprogrammer son cerveau, réapprendre à s’aimer, retrouver ce temps où j’étais en phase avec moi-même. Oui, on peut à nouveau s’aimer !

Tant qu’il n’est pas vécu, on ne peut pas savoir comment on réagira, on le sent venir et nous sommes bouleversés. Ces moments durs, tristes, peuvent être accompagnés d’un chemin plus éclairé pour comprendre, accepter, ressentir ce qui nous échappe. En Occident, le contraire de la mort, c’est la vie, en Orient, c’est la naissance.